Ce qui a manqué à Pilate ce n’est pas la bonne volonté c’est la décision virile d’obéir coûte que coûte à sa conscience ! Homme de pouvoir, il est un esclave dominé par diverses peurs : peur de perdre sa place, peur de se sentir seul contre tous, peur de déplaire et, à la fin, il finit par sacrifier sa conscience sur l’autel de son intérêt personnel… Pilate aura beau se laver les mains au mépris de la vérité, celles-ci seront à jamais entachées du sang de Jésus, l’Innocent.
Un commentaire